L’obtention d’un bâtiment sain, à forte valeur ajoutée, nécessite une implication des acteurs durant chacune des phases du projet. L’IRES propose, pour les infrastructures existantes, plusieurs kits d’autodiagnostic qui permettent d’évaluer, par exemple, la qualité de l’air ou de l’eau de son habitation ou son bureau.
Jean Dumesnil, directeur de l’A gence Edeis de Mérignac, a décidé de tenter l’expérience et de faire sa propre évaluation de ses bureaux.
Le principe est simple : il suffit de commander le kit correspondant aux analyses que l’on souhaite sur le site internet de l’IRES, et quelques jours plus tard nous recevons par la poste tous les outils avec la notice d’utilisation. À partir de ce moment il n’y a plus rien à faire que de poser les capteurs et continuer ses activités de façon normale.
À la fin de l’expérience, nous renvoyons les kits à l’IRES et eux se chargent de produire un rapport avec une analyse scientifique et détaillée et de fournir une note en fonction des résultats.
Jean Dumesnil nous partage son expérience en quelques lignes :
« Nous avons reçu deux kits : un 1er kit destiné à analyser les pesticides dans la consommation d’eau et une 2nd kit destiné à analyser la qualité de l’air intérieur. Nous l’avons implanté au niveau de l‘open space du bureau d’études
Les deux kits sont extrêmement simples à mettre en œuvre et la notice d’utilisation est particulièrement facile à appréhender.
Une fois les prélèvements réalisés, j’ai envoyé les échantillons au laboratoire et la traçabilité s’est faite via une plateforme Web qui nous a alerté dès que les résultats sont arrivés. Les rapports d’analyse sont complets et proposent des informations et conseils pour chaque rubrique. »
Edeis, acteur français de l’ingénierie et de l’exploitation d’infrastructures et de bâtiments complexes, a donc conclu un partenariat stratégique avec l’Institut de recherche et d’expertise scientifique (IRES) de Strasbourg.
« Ce partenariat majeur conforte la stratégie du Groupe Edeis en faveur de la conception d’infrastructures complexes toujours plus respectueuses de l’environnement et de la santé de leurs usagers », indique Jean-Luc Schnoebelen, président d’Edeis.